Et de quatre, sortie Lune cette fois

Et de quatre, sortie Lune cette fois

Beaucoup d’inquiétudes pour ce vendredi dédié à l’observation de la Lune avec essai de dessin en s’appuyant directement sur ce que l’on voit dans l’oculaire des télescopes.

Un orage dans l’après-midi, une brume sur place et un chemin glissant et piégeur en raison des différents devers.

Nous nous sommes toutefois retrouvés à 7 sur le site à savoir et par ordre d’apparition Juan, Gwendoline, Nicolas, Henry , moi, Jean-Dag et plus tard Rémy content de renouer avec le club.

Un très beau ciel et surtout un beau croissant de Lune haut dans le ciel.

Un croissant qui malgré tout éclairait déjà bien le ciel. Orion était au rendez-vous tout comme Jupiter et quatre de ses Lunes.

Nicolas réglait sa nouvelle monture équatoriale pour se lancer dans la photographie du ciel nocturne et notamment Orion. Après quelques problèmes de serrage de la tête support de l’appareil photo, essai des premières prises de vue avant traitement des images plus tard.

De son coté, Henry a enfin maîtrisé son Unistellar sur le terrain. Chez lui tout fonctionnait mais dès sortie à la campagne et la nuit, refus “d’obéissance” du télescope !

Tentative malheureuse de voir la comète “PanSTARRS” en raison d’un ciel trop clair avec la Lune bien brillante et des quelques nuages et brume dans le ciel.

Jean-Dag, une fois son télescope monté, entamait le dessin de quelques cratères lunaires (Capella: 49 km de Ø et au NO la Vallis Capella de 115 km) dans une posture qui pour moi relevait de l’exploit.

Juan “butinait” d’un télescope à l’autre pendant que Gwendoline, rentrée du Brésil, s’enthousiasmait de retrouver Orion à l’endroit. Eh oui, dans l’hémisphère sud, le ciel est un peu chamboulé par rapport à l’hémisphère nord.

Cratère Capella
Dessin du cratère Capella

Après mon départ, Gwendoline, sur les conseils de Jean-Dag, s’est elle aussi mise à crayonner un relief de la Lune contente de son résultat. Son “œuvre” sera ajoutée à ce CR dès que je l’aurai reçue.

La bas au Brésil, elle eut la chance de contempler les nuages de Magellan et d’autres constellations invisibles chez nous.

Vers 21h30, pris par le froid car j’étais venu directement d’une réunion portant sur un tout autre sujet sans passer par chez moi, je décidais de rentrer laissant mon télescope (celui du club) aux mains des astronomes plus persévérants mais surtout plus chaudement habillés.

Henri et Rémy partirent peu après 22h00 et pour les derniers, 23h00 rongés par l’humidité ambiante !

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